Amours désenchantés ... Brouillon de post.
En
ce mois de juin, prometteur de je ne sais quoi
soyons « zéphyriens »
Célébrons
avec l'art lyrique,
Le
désenchantement de l'amour
À
défaut de célébrer l'amour tout court
Pour
cet exercice périlleux
D'apparence
déplaisant, à posteriori plaisant
Rien
de mieux que le texte d'un compositeur allemand
Pas
très chevelu malheureusement pour son peigne
(Ceux
qui me connaissent vous le diront, je fais fixette sur les capillaires)
Chanté
par deux belles voix de soprano de l'ex pays de Gorbatchev
(Je me rappelle de la tache de vin qui surplombait sa pelade comme de ma première barbie Véronique ... celle de ma sœur s'appelait Flamengo)
Au
grand dam d’Hoffmann …
Aussi
con que ses pattes euh … aussi candide que ses semblables poètes.
Bonne dégustation auditive cliquez ici pour la bande
Avec deux paires de cordes vocales de l'est (rien que ça pour être heureux)
Chantant un certain imaginaire d'Offenbach
PS : Décidément, il ny’a que l'art qui sache faire
son miel de toute fleur
Même des plus stériles d'apparence
Simulacre de certitude ... autant pour moi !!
DNR
Belle
nuit
Oh nuit d'amour
Souris à nos
ivresses
Nuit plus douce
que le jour
Oh belle nuit
d'amour
Le temps fuit et
sans retour
Emporte nos
tendresses
Loin de cet
heureux séjour
Le temps fuit
sans retour
Zéphyrs embrasés
Bercez-nous de
vos caresses
Zéphyrs embrasés
Bercez-nous de
vos caresses
Donnez-nous vos
baisers
Bercez-nous
De vos baisers
Bercez-nous
De vos baisers
Belle nuit
Oh nuit d'amour
Souris à nos
ivresses
Nuit plus douce
que le jour
Extrait de l'acte 4 des comtes d'Hoffmann